Dans
le dernier numéro du magazine américain "Meat and Poultry", la rédaction
cite avec délectation un article récent de la revue "Feathers",
organe de la Fédération de l'industrie volaillère de Californie, ou l'on
conte l'intéressante (et véridique !) histoire suivante :
L'administration
aéronautique fédérale américaine (FAA) a un moyen unique de tester la résistance
des pare-brise d'avions. Le système est composé d'un pistolet qui lance des
poulets morts sur les dits pare-brise à la vitesse approximative d'un avion en
vol. La théorie est simple : si le pare-brise résiste à l'impact de la
carcasse, il devrait survivre à une véritable collision avec un oiseau vivant.
Les Belges se sont montrés très intéressés et ont décidé ainsi de tester
la résistance des pare-brise du modèle de locomotive a grande vitesse qu'ils
sont en train de développer. Ils ont donc emprunté le lanceur de poulet américain,
l'ont chargé et ont fait feu. Le poulet sol-sol a explosé la vitre du train,
traversé le fauteuil du mécano, défoncé la console d'instrument de bord
avant de s'encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage. Les
Belges un peu surpris, ont alors demandé à la FAA de vérifier la validité de
leur test. La FAA s'est donc livrée à un examen de la procédure pour aboutir
à la recommandation suivante : IL FAUT DÉCONGELER LE POULET !
Un
belge ayant vécu toute sa vie à Bruxelles en a soudain assez de la vie de
citadin. Il décide de déménager pour la campagne, et de devenir éleveur de
poulets. Dans les environs de Charleroi, il trouve une jolie fermette à vendre
pour pas trop cher. Il saute sur l'occasion et l'achète. Quelques jours plus
tard, il reçoit la visite de son voisin immédiat, qui est, lui aussi éleveur
de poulet. Le voisin lui dit:
élever
des poulets, de nos jours, ce n'est pas une mince affaire. Par solidarité, je
vais te prêter 1000 poulets pour t'aider à démarrer, sais tu. Tu me les
rendras quand votre t'auras assez de sous devant toi. Après l'avoir remercié,
l'apprenti aviculteur rentre chez lui avec les poulets. Deux semaines plus tard,
le voisin vient voir à quel stade en sont ses poulets. Le nouveau lui dit:
-
Oh, c'est pas terrible: Tous les poulets sont morts!
Le
voisin n'y croit pas:
-
Je n'ai jamais eu autant de perte sur mes poulets. Ils ont du avoir un coup de
chaleur. Allez, je vais t'en prêter 1000 autres.
Deux
nouvelles semaines passent. Le voisin affable vient à nouveau aux nouvelles:
-
Je ne sais pas si je dois te le dire, mais tes 1000 poulets sont morts encore
une fois. Il n'en reste plus un seul de vivant...
Le
voisin incrédule demande:
-
Mais qu'est-ce qui s'est passé? Comment tu expliques qu'ils soient tous morts?
Et
l'autre répond:
-
Ben je ne suis pas encore sûr... Ou bien c'est parce que je les plante trop
profond, ou bien c'est parce que je les plante trop serrés.
Un
couple belge d'une 50aine d'année se livre à un trafic d'animaux sauvages
entre le Zaïre et Bruxelles. Ce jour là, il transporte illégalement une
petite chauve-souris et un minuscule putois extrêmement rares et faisant partie
des espèces protégées. Le mari cherche comment passer la douane sans encombre
puis s'adresse à sa grosse femme :
Oleï
oleï ! J'ai une idée de génie : je vais mettre la chauve souris sur mon torse
avec du scotch double face, et si on me demande, je dirai que c'est un T-shirt
de Batman !
Oh
mon chéri, comme tu es intelligent, ça en est ça une bonne idée une fois,
mais que fait-on du putois. Eh bien le putois est si petit que tu vas le cacher
dans ta culotte, personne n'osera y aller voir !
Mais
tu n'y penses pas ! Et l'odeur ?
Oh
ce n'est pas grave l'odeur, s'il meurt, il meurt !
Un
américain, un anglais et un belge boivent des bières dans un bar parisien.
L'anglais dit que, certes, l'endroit est plaisant mais que, à Londres, si l'on
va boire chez Andrew's, on paie la première bière, on paie la seconde, mais
Andrew paie la troisième. L'américain dit que oui, c'est pas mal, mais à New
York, chez Tom, on paie sa bière, Tom paie la seconde. On paie la troisième,
et Tom paie la quatrième. Le belge avoue que ce n'est pas mal, mais il connaît
un coin encore plus chouette à Bruxelles.
Chez
Maesmaker, on te paie ta première bière, et une seconde, et une troisième.
Quand tu as bu la troisième, tu peux même en avoir une quatrième, et après
tu montes à l'étage et tu baises. Les deux autres sont très impressionnés,
et lui demandent:
-
Non? c'est vrai? et ça t'es arrivé, à toi?
-
À moi non, mais à ma sœur, oui.
Un
accident de bus Belge a fait 40 morts : 20 dans
l'accident et 20 dans la reconstitution.
Terrible
accident d'hélicoptère dans un cimetière belge.
Les
sauveteurs ont déjà dégage plus de 500 corps.
C'est
en Belgique, un couple fait l'amour dans leur voiture stationnée au
bord de la route. Un
policier frappe alors à la vitre, l'homme ouvre la fenêtre et le policier
dit :
-
"Bonjour monsieur, que faites vous l??"
- "Je fais l'amour."
- "Mais! C'est interdit ici... Cela fait 200 fb d'amende!"
C'est
alors que sa femme apparaît:
- "Que se passe-t-il, chéri."
Et
le policier :
- "Ah, parce qu'en plus vous êtes deux ! Cela fera 400 fb !!"
(Véridique)
Le
25 avril 1994
Cher
Monsieur,
J'ai
l'honneur d'accuser réception de votre lettre du 12 avril dernier
par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement
de l'argent que je vous dois. Sachez tout d'abord que je ne conteste nullement
ma dette et que j'ai l'intention de
vous rembourser aussitôt que possible. Mais d'autre part, je vous signale que
j'ai encore beaucoup d'autres créanciers, tous aussi honorables que vous, et
que je souhaite rembourser aussi. C'est pourquoi, chaque mois, je mets tous les
noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je
m'empresse de rembourser immédiatement.
J'ose espérer que votre nom sortira bientôt. Entre-temps, je vous prie d’agréer,
Monsieur, l'assurance de mes sentiments distingues.
Signature
P.S.
: Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j'ai
le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain
tirage...
C'est
un belge qui va dans une boulangerie.
"Alléi,
Bonjour madame, j'aimerai une livre de pain."
"Vous
êtes belge", lui répond la boulangère.
"Comment
vous avez deviné?"
"L'accent."
Le belge sort mécontent de la boulangerie et se dit :
"Alléi,
c'est décidé, je vais partir 2 ans en Suisse et comme ça, ils ne se moqueront
plus." Le belge part et revient 2 ans plus tard. Il va dans un magasin et
demande avec son accent suisse :
"Bonjouur
Madâââme, j'aimeraiiii une livre de paiiiinnn"
"Mais
vous êtes belge", lui répond la dame. Le belge reprend son vieil accent
et répond :
"Alléi,
comment vous avez deviné ?"
"Mais
monsieur, ici, c'est une boucherie!"
C'est
l'histoire d'un français qui veut tester sa supériorité sur les Belges.
Alors, il se rend en Belgique à vélo et s'arrête à une pompe à essence.
Bonjour
Monsieur, qu'est-ce que je peux une fois faire pour vous ?
-
Le plein s-v-p. Le Belge fait le plein et le français plié en deux de rire lui
demande de vérifier les pneus. Le Belge s'exécute avec sa gentillesse légendaire
et le français en rit de plus belle. Il lui demande de laver le pare-brise. Le
Belge nettoie le guidon du vélo et le français mort de rire règle le pompiste
et veut s'en aller lorsque ... il reçoit une gifle magistrale. Ne rigolant
plus, il demande pourquoi.
-
Ben, j'ai fermé la portière une fois, Monsieur.
Un
Français rencontre un Belge et lui demande :
-
Tu connais la différence entre un Belge et un miroir ?
-
Euh...non !
-
Ben le miroir il réfléchit !
Le
Belge ne s'avoue pas vaincu et rétorque au Français :
-
Tu connais la différence entre un Français et un miroir ?
-
Non, qu'est ce que c'est ?
-
C'est que le miroir est poli !
Deux
Belges se présentent a l'école du ski du coin:
"Nous
aimerions avoir le même moniteur que l'année dernière SVP."
"Bien
sur, vous connaissez son nom ?"
"Non,
mais son prénom, c'est Michel"
"Le
problème, c'est que j'ai 7 Michel. Il faudrait un signe particulier."
Les
deux Belges réfléchissent puis l'un d'entre eux
chuchote:
"Il
a ,c'est sur, un signe particulier : il a DEUX anus."
"Pardon
? Vous en êtes sur?"
"Nous
ne l'avons pas vu, mais chaque fois qu'il croisait un collègue, l'autre lui
demandait:
"Tu
t'en sors avec tes deux trous-du-cul ?"