La Famille

 

 

 

Bob va se marier...

Bob a décidé de se marier mais avant de faire sa demande il veut en parler à sa mère... Tu sais Maman, j'ai rencontre une fille superbe, je voudrais l'épouser mais j'aimerais quand même que tu la rencontres avant.
Oui, si tu veux mon fils dit la mère.
Voila ce qu'on va faire, répond Bob, samedi prochain, je vais venir avec trois copines. Une d'elle est la femme que j'aime. Je ne te dis pas laquelle et on en parle après, d'accord ?
Oui, si tu veux mon fils, dit la mère.
Samedi arrive, Bob vient avec ses trois copines toutes belles, intelligentes, etc...
Le dîner se passe, les filles partent.
Alors Maman, dit Bob, est-ce que tu penses avoir trouve laquelle est la femme de ma vie?
Et la mère répond...
Ce ne serait pas celle qui avait la robe bleue ?
Bob stupéfait...
C'est bien elle. Mais comment as-tu fait ? Elles sont toutes les trois superbes, gentilles, etc. Comment as tu fait pour l'identifier tout de suite?
Et la mère répond...
J'sais pas... J'l'aime pas !!

 

Histoires de familles...

Je me suis marié à une veuve qui avait, de son premier mari, une grande fille dont mon père tomba amoureux et qu’il épousa.
Mon père devint ainsi mon gendre, tandis que ma belle-fille devenait ma belle-mère puisqu’elle avait épousé mon père. Bientôt, ma femme eut un fils, qui fut le fils de la mère de la femme de mon père et, en même temps, mon oncle puisqu’il était le frère de ma belle-mère. Voilà donc mon propre fils qui devient mon oncle.

La femme de mon père, elle aussi, devint mère d’un garçon qui fut à la fois mon demi-frère et mon petit-fils, vu qu’il était le fils de la fille de ma femme. Bref, ma femme se trouvait à être ma grand-mère car elle était la mère de la femme de mon père.

Moi, je n’étais pas seulement le mari de ma femme, mais j’étais aussi son petit-fils et aussi le mari de la grand-mère de ma femme. Il arriva donc que je devins mon propre....grand-père....

 

Se faire passer pour l'autre comporte certains risques...

Robert et Raymond profitent de leurs vacances pour se rendre à Chamonix et tenter une ascension difficile.

Malheureusement, lorsqu'ils arrivent, la tempête est telle qu'ils sont contraints de se réfugier dans le premier chalet venu.

Coup de chance, la maison est splendide.
Mais la jolie femme qui les accueille leur précise aussitôt: "Je suis veuve, vous comprenez que je ne peux pas me permettre de vous laisser passer la nuit chez moi. Les voisins jaseraient..."

Robert répond: "Pas de problème, nous passerons la nuit dans la grange si vous nous y autorisez."
Neuf mois plus tard, Robert passe un coup de fil a son ami Raymond:
- Raymond, tu te souviens de cette nuit a la montagne ou nous avions du dormir dans la grange ?
- Ouais... Je me souviens.
- Tu te rappelles de la jolie maîtresse de maison qui nous avait accueillis...
- Ouais...
- Par le plus grand des hasards, tu ne te serais pas levé pendant que je dormais pour aller rejoindre cette femme dans son lit ?
- J'ai bien peur que si..., répond Raymond inquiet.
- Et tu ne lui aurais pas dit que tu t'appelais Robert et non pas Raymond ?
- J'ai bien peur que si..., répond t'il, rouge de confusion.
- Eh bien je te remercie car elle vient de mourir et de me léguer toute sa fortune !

 

Jean-François...

La maman rentre plus tôt du boulot et trouve son gamin de 6 ans en train de fumer. Stupéfaite, elle s'écrie:
- Jean-François, mais que fais-tu ?
- Ben je fume !
- Tu fumes, à 6 ans, il y a encore d'autres choses que je ne sais pas ?

- Euh, oui, je baise !
Sur quoi la maman s'évanouit. Quand elle reprend ses esprits, elle raconte le tout à son mari qui ne peut y croire et va à son tour trouver son rejeton.

Le papa:
- Jean-François, tu as des choses à me dire ?
- Je fume !
- Rien d'autre ?
- Je baise.
- Tu baises, à 6 ans, mais avec qui ?
- Je me rappelle plus, j'étais bourré...

 

La Cuillère...

Depuis quelques temps, Jean demeure avec une colocataire. La mère de Jean suspecte une liaison entre son fils et sa coloc, mais chaque fois que le sujet est abordé, Jean lui répète qu'il ne s'agit que d'une colocataire, rien de plus.
Un jour, Jean invite sa mère pour dîner. Durant le repas, la mère ne peut s'empêcher de remarquer la grande beauté de la coloc de Jean, Julie.
Elle devient encore plus curieuse et durant la soirée, elle surveille les interactions des deux colocs, cherchant à détecter des gestes qui pourraient trahir une relation, mais rien à faire. Jean finit par deviner les pensées de sa mère et lui dit:
-Je sais ce que tu penses maman, mais je t'assure que Julie et moi ne sommes que des colocs.
Mais la mère de Jean n'en croit pas un mot. La soirée se termine donc et elle repart avec les mêmes soupçons.
Environ une semaine plus tard, Julie s'adresse à Jean et lui dit:
-Depuis que ta mère est venue manger ici, je ne trouve plus la magnifique cuillère en argent pour servir la sauce. Crois-tu qu'elle aurait pu la prendre par hasard?
-Bien, j'en doute mais, je vais lui écrire une note pour être certain.
Il envoie donc le courriel suivant à sa mère:
"Chère mère. Je ne dis pas que tu as pris la magnifique cuillère en argent pour servir la sauce. Mais un fait demeure, cette cuillère a disparu depuis que tu es venue dîner avec nous.
  Le lendemain, Jean reçoit une réponse de sa mère qui se lit comme suit:
"Cher fils, je ne dis pas que tu couches avec Julie et je ne dis pas non plus que tu ne couches pas avec Julie. Mais un fait demeure: si elle couchait dans son propre lit, elle aurait déjà retrouvé la magnifique cuillère en argent qui sert à servir la sauce.
Ta mère qui t'aime."